Relations extérieures - Related Opinions
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2019 is the year we are celebrating the ten-year anniversary of a real and living partnership – the Eastern Partnership (EaP). Over the last decade this partnership has gone through its share of difficulties. Yet, it not only endured - it developed, matured and delivered beyond what we foresaw at the beginning.
Thus after 10 years of EaP policy, it is crucial to properly evaluate the achievements and aims and reflect on the next possible steps. It is important to ensure that EaP policy connects countries and people and covers a broad area of issues, including supporting civil society, pluralism and independent media, as well as ensuring gender equality and non-discrimination. As it is likely that the policy will change its course from a one-size-fits-all to a tailor-made approach, it will be crucial to ensure that those wanting to get closer to the EU have this opportunity, adapted to their ambitions and pace.
The European Economic and Social Committee would like to reiterate its commitment to the WTO as the guardian of international trade and a crucible for developing rules and disciplines to ensure fair trade, the liberalisation of trade in goods and services, and transparency in trade-related policy-making.
Key points:
The EU today faces an increasing demand for a constructive dialogue with civil society on trade, as seen with CETA and TTIP. Domestic advisory groups (DAG) are a great way to connect citizens with trade issues. DAG should responsibly advise on all aspects of EU Trade Agreements.
Domestic advisory groups should be advisory, consultative, institutionalized and competent to cover all provisions of FTAs.
The EESC considers that the participation of civil society in all FTAs is an indispensable element in the strategic ambitions of the external policies of the EU.
The EESC considers its participation in DAGs valuable and wishes to continue to be part of all of them.
The EESC asks budgetary authorities for an additional budget to support Domestic Advisory Groups to fulfil the expected work in terms of quantity and quality.
This proposal is part of the Multiannual Financial Framework (MFF) outlined in the European Commission’s Communication ‘A modern Budget for a Union that Protects, Empowers and Defends – The Multiannual Financial Framework for 2021-2027’. On 14 June 2018 the European Commission presented the budget for the external action of the European Union, which includes and the Neighborhood, Development and International Cooperation Instrument (NDICI) and the European Instrument for Nuclear Safety.
L'instrument d'aide de préadhésion (IAP) vise à préparer les pays candidats et les candidats potentiels aux droits et obligations de l'adhésion à l'UE. D'abord établi pour la période de programmation 2007-2013, il est appelé IPA II dans le cadre du CFP 2014-2020. Ses bénéficiaires sont les pays des Balkans occidentaux (Albanie, Bosnie-Herzégovine, Kosovo, Monténégro, Serbie, ex-République yougoslave de Macédoine) et la Turquie. L'enveloppe financière proposée pour l'IAP III pour la période 2021-2027 représente une augmentation de 13% par rapport au financement actuel de l'IAP II, correspondant notamment à 14,5 milliards d'euros en prix courants. L'objectif général de l'API est d'aider les pays candidats à adopter et mettre en œuvre toutes les réformes (politiques, institutionnelles, juridiques, administratives, sociales et économiques) nécessaires pour se conformer aux valeurs de l'UE et les aligner progressivement vers l'adhésion à l'UE.
À la demande de la future présidence bulgare du Conseil de l’Union européenne (janvier-juin 2018), le CESE a été invité à élaborer un avis exploratoire sur les défis et priorités auxquels sont confrontés les pays des Balkans occidentaux dans le cadre du processus d’intégration européenne, ainsi que dans le domaine de la cohésion économique et sociale. Les Balkans occidentaux constitueront l’une des priorités politiques de la présidence bulgare et un sommet des Balkans occidentaux aura lieu en mai 2018 à Sofia.
L'UE possède l'un des régimes d'investissement les plus ouverts au monde et, collectivement, les États membres de l'UE ont le moins de restrictions au monde en matière d'investissement direct étranger (IDE). L'OCDE l'a expressément reconnu dans son Indice de réglementation restrictive de l'IED, qui mesure les obstacles légaux à l'investissement étranger dans plus de 60 pays.
Le document de réflexion de la Commission du 10 mai 2017 sur la maîtrise de la mondialisation a reconnu les préoccupations croissantes concernant les acquisitions stratégiques d'entreprises européennes par des investisseurs étrangers avec des technologies clés. Ces préoccupations ont remis en question la capacité du cadre réglementaire actuel à les résoudre.
L’année 2017 sera décisive pour le partenariat entre l’Europe et l’Afrique. Dans un paysage mondial en mutation rapide, l’Afrique connaît de profonds changements économiques, politiques et sociaux, et l’importance qu’elle revêt pour les dimensions intérieure et extérieure de la sécurité et de la prospérité de l’Europe est de plus en plus évidente. L’Europe et l’Afrique ont tout à gagner d’un renforcement de leurs liens politiques et économiques, mais elles ont aussi beaucoup à perdre si elles n’agissent pas.
En raison de sa situation géographique, la Turquie est un pays de premier accueil et de transit pour nombre de réfugiés et de migrants. À la suite d’un afflux sans précédent de personnes en quête d’un refuge, le pays accueille actuellement plus de 2,7 millions de réfugiés syriens enregistrés, et déploie des efforts méritoires pour leur offrir une aide humanitaire et un soutien. L’UE est déterminée à aider la Turquie à gérer cette épreuve.