Les participants à une conférence du CESE sur le futur budget à long terme de l’Union européenne demandent qu’un accord soit rapidement trouvé sur un cadre financier adéquat et dûment réformé qui renforce l’Union
Commission Européenne
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Le président du Comité économique et social européen, M. Georges Dassis, a rencontré, ce jour, le premier vice-président de la Commission européenne, M. Frans Timmermans, afin de lui présenter la contribution du CESE au programme de travail de la Commission pour 2017.
Sous l’intitulé «Le nouveau train de mesures sur les ressources propres: les trois moteurs de financement pour la croissance et la reprise de l’économie européenne», le CESE va organiser une audition qui aura pour but de présenter les points de vue de tous les acteurs intéressés et de la société civile concernant cette initiative, destinée à conforter le financement de NextGenerationEU.
La conférence conjointe ECFIN-CESE sur «La voie à suivre pour la gouvernance économique de l’UE» encouragera une discussion horizontale couvrant les différents thèmes de l’examen du cadre de gouvernance économique, avec des débats sur la soutenabilité de la dette et la croissance, les déséquilibres macroéconomiques, l’investissement et la mise en œuvre des règles. Il rassemblera un large éventail d’intervenants, dont Christa Schweng, présidente du Comité économique et social européen, et Paolo Gentiloni, commissaire chargé de l’économie.
Une proposition de révision des règles bancaires de l'UE vise à garantir que les banques de l'UE deviennent plus résilientes aux futurs chocs économiques potentiels, tout en contribuant à la reprise de l'Europe après la pandémie de COVID-19 et à la transition vers la neutralité climatique. L'audition publique fournira le point de vue des acteurs institutionnels et de la société civile et contribuera à formuler les recommandations politiques que le CESE élabore sur les propositions législatives actuellement en discussion.
Le PIB est la mesure la plus connue de l’activité macroéconomique. Bien qu’il soit utilisé par les responsables politiques du monde entier ou dans le débat public, cet indicateur n’a pas été conçu comme une mesure globale de la prospérité et du bien-être. Par conséquent, d’autres indicateurs sont nécessaires pour évaluer et résoudre les problèmes mondiaux du XIXe siècle, tels que le changement climatique, la pauvreté, l’épuisement des ressources, ainsi que pour promouvoir la santé et une meilleure qualité de vie. Par conséquent, des indicateurs allant au-delà du PIB devraient devenir des instruments qui donneront la possibilité non seulement de suivre et de mesurer l’évolution des politiques, mais aussi d’en orienter le développement, d’améliorer la communication et d’encourager la fixation d’objectifs.
La conférence "Paquet législatif dans le domaine de la lutte contre le blanchiment de capitaux", fera le point sur l'état des lieux et débattra en particulier des propositions législatives proposées par la Commission européenne en juillet 2021 pour renforcer les règles de l'UE en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). Ces propositions incluent, entre autres éléments, la création d'une nouvelle autorité de l'UE pour lutter contre le blanchiment d'argent, une application complète des règles de LBC/FT de l'UE au secteur des crypto-actifs et une limite européenne de 10 000 € sur des paiements en espèces.
Pour assurer une reprise économique et sociale durable après la crise de la COVID-19 et lutter efficacement contre le changement climatique il faudra augmenter massivement les investissements. Pour y parvenir, il est indispensable de repenser les règles budgétaires de l’Union.
Conférence du Groupe Semestre Européen 2021
Après l’apparition de la pandémie de COVID-19, le Comité économique et social européen (CESE) a joué un rôle central pour porter à la connaissance des décideurs politiques les points de vue consensuels de la société civile organisée de l’UE et pour contribuer aux mesures en évolution rapide prises au niveau européen sur le plan de la politique économique, en réponse à la crise.
À cet égard, nous estimons que l’heure est venue pour les institutions de l’Union européenne de prendre des mesures décisives afin d’approuver rapidement ce nouveau dispositif et de mettre en place les mécanismes de mise en œuvre nécessaires aux niveaux européen et national, de sorte que les États membres, citoyens et entreprises les plus durement touchés puissent bénéficier des financements européens correspondants au moment où ils en ont le plus besoin.