The EESC issues between 160 and 190 opinions and information reports a year.
It also organises several annual initiatives and events with a focus on civil society and citizens’ participation such as the Civil Society Prize, the Civil Society Days, the Your Europe, Your Say youth plenary and the ECI Day.
Here you can find news and information about the EESC'swork, including its social media accounts, the EESC Info newsletter, photo galleries and videos.
The EESC brings together representatives from all areas of organised civil society, who give their independent advice on EU policies and legislation. The EESC's326 Members are organised into three groups: Employers, Workers and Various Interests.
The EESC has six sections, specialising in concrete topics of relevance to the citizens of the European Union, ranging from social to economic affairs, energy, environment, external relations or the internal market.
Lors du débat organisé en plénière du CESE avec M. Margaritis Schinas, vice-président de la Commission, le CESE a exprimé une nouvelle fois son soutien sans faille à une union européenne de la santé. Il a instamment invité la Commission à faire preuve d’ambition dans la mise en œuvre de la nouvelle stratégie européenne en matière de soins, dont l’objectif est que chaque Européen ait accès à des soins de santé de qualité à un prix abordable.
Ces maladies dites «rares» touchent malgré tout jusqu’à 36 millions de personnes au sein de l’Union européenne. En dépit des progrès de la recherche et de l’échange de bonnes pratiques, l’Europe manque toujours à ses obligations envers les patients atteints de maladies rares, et ce, à de nombreux égards.
L’Union européenne doit non seulement améliorer la préparation de son système de santé, mais aussi lutter contre les inégalités au sein de l’Union et au niveau mondial. Elle doit rapidement entreprendre l’évaluation des mesures prises à ce jour en matière de santé publique.
Although it has great potential, HERA - the EU's new body for fighting future health emergencies across borders – falls short on transparency and ambition. With few checks and balances in place for its work, there are doubts as to whether HERA will be able to fulfil its public health mission, rather than giving a predominant role to the pharmaceutical industry
Le dialogue social représente un outil important pour garantir la santé et la sécurité au travail. Il faudra néanmoins le renforcer dans toute l’Europe pour faire face aux changements que connaît le monde du travail en raison de la crise sanitaire et de la transition numérique et écologique. Ce dialogue devrait être assorti de règles plus strictes concernant les troubles musculo-squelettiques et les risques psychosociaux à l’origine de graves maladies professionnelles, telles que cardiopathies, accidents vasculaires cérébraux, cancers et dépressions.
La pandémie a encore renforcé l’urgence de relever les nouveaux défis qui se posent en matière de santé et de sécurité au travail. Un dialogue social renforcé est indispensable pour garantir l’amélioration des normes relatives au télétravail et, plus généralement, à l’environnement numérique.
Les taux de surmortalité enregistrés au cours de cette crise pandémique ont révélé des problèmes structurels et systémiques dans le modèle de soins en maison de repos. En outre, l’allongement de l’espérance de vie et l’augmentation consécutive du nombre de personnes âgées dans les années à venir font ressortir la nécessité de réformer le modèle de prise en charge. Lors de l’audition organisée par le CESE sur le thème «Vers un nouveau modèle de soins pour les personnes âgées: tirer les enseignements de la pandémie de COVID-19», les principaux défis que rencontre ce secteur ont été recensés, à savoir, entre autres, comment améliorer l’accessibilité, le caractère abordable et la qualité des soins, et comment garantir un nombre suffisant de prestataires de soins ainsi que de meilleures conditions de travail.
On 30 June, the Diversity Europe Group held a webinar under the banner of the Conference on the Future of Europe on the impact of the COVID-19 crisis on the mental health and employability of young people.
Selon des enquêtes récentes, 66 % des Européens souhaiteraient que l’UE ait davantage son mot à dire sur les questions de santé, et plus de la moitié d’entre eux sont favorables à ce que la santé publique devienne la première priorité de l’Union sur le plan des dépenses. Aussi celle-ci devrait-elle commencer à jouer un rôle plus actif dans la protection de la santé de ses citoyens. Le CESE estime que le récent train de mesures de la Commission sur une Union européenne de la santé constitue un pas dans la bonne direction.
Salué pour son ambition et son exhaustivité, le nouveau plan européen pour vaincre le cancer a suscité l’enthousiasme des organisations anticancer et de la société civile. Aujourd’hui, il s’impose d’urgence de le mettre dûment en œuvre, à l’heure où la pandémie obère lourdement le dépistage des cancers et leur traitement. L’enjeu est énorme, car à défaut d’une action résolue, l’Europe pourrait être submergée par un tsunami d’affections cancéreuses: selon les projections, il ne faudra qu’un peu moins de quinze ans pour que la maladie se hisse à la première place parmi les causes de mortalité.