The EESC issues between 160 and 190 opinions and information reports a year.
It also organises several annual initiatives and events with a focus on civil society and citizens’ participation such as the Civil Society Prize, the Civil Society Days, the Your Europe, Your Say youth plenary and the ECI Day.
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The EESC brings together representatives from all areas of organised civil society, who give their independent advice on EU policies and legislation. The EESC's326 Members are organised into three groups: Employers, Workers and Various Interests.
The EESC has six sections, specialising in concrete topics of relevance to the citizens of the European Union, ranging from social to economic affairs, energy, environment, external relations or the internal market.
On 6 May 2019 the Centre for European Policy Studies (CEPS) organised in its headquarters at Place du Congrès in Brussels a day of debates which focused on analysing the reform process of the Economic and Monetary Union, the various positions of the Member States' governments and some social actors, as well as the possible way forward from a situation that was qualified as a "blockage of the main reforms". In the six round tables that structured the debate, a total of 26 people participated, including keynote speakers, speakers and moderators. All of them were academics or officials of the European institutions.
Les titres adossés à des obligations souveraines (sovereign bond-backed securities ou SBBS) peuvent contribuer à une plus grande diversification et à une réduction des risques pour les portefeuilles en obligations souveraines détenus par les banques et par les autres opérateurs financiers. Cela pourrait avoir un effet positif sur la stabilité et la résilience du système financier et améliorer l’intégration du marché financier.
Le CESE se félicite des propositions présentées par la Commission européenne au sujet des prêts non performants, mais recommande une analyse d’impact spécifique afin de garantir l’adéquation et l’efficacité des mesures qu’elle propose
Le CESE présente des mesures visant à éviter la rigueur des politiques d’austérité à l’avenir et à atténuer les effets néfastes qu’a produits la gestion des crises précédentes.
Il convient de trouver un meilleur équilibre entre les objectifs budgétaires et sociaux dans la gestion des crises futures, afin d’éviter qu’elle ne produise des effets néfastes sur les capacités économiques, les marchés du travail et les systèmes de protection sociale des pays concernés. Au lieu de défendre une austérité sévère, les institutions de l’UE devraient, lorsque de prochaines crises surviendront, mettre en œuvre des politiques ayant pour objectifs la coopération économique, la croissance et la solidarité.
De nouvelles mesures doivent être prises au niveau national et européen pour contrecarrer les effets des crises futures
Les États membres de l’UE doivent d’urgence travailler à bâtir une UEM stable, prospère et plus résiliente: voici l’une des principales conclusions d’un débat public sur l’achèvement de l’Union économique et monétaire (UEM) que le Comité économique et social européen (CESE) a organisé le 29 janvier 2018.
Le CESE plaide pour une action de relance budgétaire ciblant l’investissement public, qui mettrait également l’accent sur des réformes structurelles destinées à accroître la productivité et à soutenir la création d’emplois de qualité
Le Comité économique et social européen (CESE) désapprouve la proposition de la Commission d’adopter une orientation budgétaire globalement neutre en 2018, et plaide plutôt pour une orientation budgétaire positive modérée représentant environ 0,5 % du PIB.
Des mesures préventives et des approches de substitution ont été proposées à cette fin lors d’une audition du Comité économique et social européen (CESE)
Il est crucial de stimuler la croissance économique; seule une économie forte permettra à l’Europe de mieux relever les défis politiques et sociaux auxquels elle est confrontée. Tel est l’un des principaux messages des avis adoptés hier par le CESE à Bruxelles. Le CESE demande que davantage d’investissements — publics comme privés — soient réalisés directement dans les pays qui en ont le plus besoin. L’organe de l’UE représentant la société civile estime également que le plan Juncker ne suffit pas ...