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  • L’UE devrait entre autres renforcer le mandat de l’ENISA, l’agence de l’Union chargée de la cybersécurité, créer un cadre de certification à l’échelle européenne et mettre l’accent sur l’éducation et la protection des utilisateurs de l’internet.

  • L’étude du CESE sur l’évolution future des organisations de la société civile (OSC) cerne les principaux défis, développe des scénarios de changement et contient des recommandations pratiques.

  • La version française sera disponible bientôt

    Women with disabilities should be able to take decisions on matters that concern them and be fairly represented in public institutions, disability organisations said at an EESC public hearing.

  • Article by Enrico Gibellieri, co-rapporteur of opinion CCMI/153 - Industrial change in the health sector

  • Tous les États membres de l’UE à l’exception de la Grande-Bretagne, du Danemark et de Malte ont décidé de mettre en place une coopération structurée permanente, comme le prévoient le Titre II (articles 42 à 46) et les protocoles 10 et 11 du TUE. La volonté de mettre en place une forme d’intégration différenciée constitue une réponse politique à la demande de sécurité accrue de la part des citoyens européens, et un signal fort d’adhésion aux valeurs communes du traité de Rome, en particulier à une heure où, dans de nombreux pays, l’on assiste à une dilution de la mémoire historique des valeurs de paix et de collaboration qui ont poussé les peuples des États fondateurs à apporter une réponse unanime aux terribles déchirures des deux guerres mondiales.

  • Le 23 janvier, le Conseil national de l’économie et du travail (CNEL) italien a tenu, sous les auspices du Comité économique et social européen, une conférence intitulée «L’EFSI: un outil au service de la croissance». Cette conférence avait deux objectifs: promouvoir l’utilisation de l’EFSI et examiner de quelle manière cet instrument financier pourrait être utile au cours de la période 2021-2027 dans le cadre des priorités de la Commission européenne: recherche, Erasmus, politique de cohésion, agriculture, réseaux transeuropéen de transport (RTE-T), défense et immigration.

  • De nouvelles mesures doivent être prises au niveau national et européen pour contrecarrer les effets des crises futures

    Les États membres de l’UE doivent d’urgence travailler à bâtir une UEM stable, prospère et plus résiliente: voici l’une des principales conclusions d’un débat public sur l’achèvement de l’Union économique et monétaire (UEM) que le Comité économique et social européen (CESE) a organisé le 29 janvier 2018.

  • La réunion des 1er et 2 février prochains est organisée par la présidence bulgare du Conseil de l’Union européenne

    «Il faut doter l’Europe d’un plan d’action industriel cohérent, assorti d’objectifs communs contraignants, de calendriers et d’instruments, qui s’accompagne d’une responsabilité partagée entre l’Union et ses États membres afin de relever les quatre défis majeurs qui seront ceux de la décennie qui vient: la numérisation, le changement climatique, la mondialisation et le changement démographique» a déclaré le vice-président du Comité économique et social européen (CESE) dans l’allocution qu’il a prononcée devant les ministres et les représentants de l’ensemble des États membres de l’Union européenne, de la Suisse et de la Norvège, ainsi que du Comité européen des régions.

  • Tel est le principal message qui s’est dégagé de l’audition publique sur le thème de la cohésion économique et sociale et l’intégration européenne des Balkans occidentaux, que le Comité économique et social européen a organisée à Bruxelles.

  • Améliorer la coopération juridique entre États membres en matière de lutte contre les fraudes informatiques constitue un pas dans la bonne direction, a affirmé le CESE dans un récent avis évaluant la proposition de directive concernant la lutte contre la fraude et la contrefaçon des moyens de paiement autres que les espèces présentée par la Commission européenne. Le Comité plaide cependant en faveur de garanties plus solides pour protéger les utilisateurs d’instruments de paiement électroniques, ainsi que de mesures de prévention obligatoires pour les sensibiliser aux modes opératoires des «cybercriminels».