EESC plenary debate on 7 July 2021
Croissance
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L’engagement politique à lui seul ne suffira pas à atteindre les objectifs de développement durable (ODD), affirme le Comité économique et social européen. Des investissements accrus, notamment de la part du secteur privé, sont nécessaires pour relever les défis économiques, sociaux et environnementaux actuels. Le Comité recommande donc à l’UE et à ses États membres d’adapter leurs politiques fiscales et d’investissement afin de renforcer les perspectives de croissance et, partant, les contributions du secteur privé, en vue d’atteindre les ODD.
À l’issue du Semestre européen 2019 et des consultations de la société civile qu’il a organisées dans les États membres, le CESE tire des enseignements pour l’avenir
Il est nécessaire de faire de la politique en faveur des PME une priorité horizontale si l’on veut que celles-ci relèvent les nombreux défis transversaux auxquelles elles sont actuellement confrontées. Les évolutions actuelles posent des problèmes plus importants aux PME qu’aux grandes entreprises. Pour les décideurs politiques, le temps est donc venu d’agir en conséquence. Cette question était au cœur des échanges lors de la conférence intitulée «Placing European SMEs at a horizontal priority in post-2020 policy making process» (Faire des PME européennes une priorité horizontale dans le processus d’élaboration des politiques de l’après-2020).
Lors de sa session plénière de juillet, le Comité économique et social européen a présenté des propositions relatives au programme économique de la prochaine législature (2019-2024) et a recommandé qu’elles constituent la base d’une nouvelle stratégie économique européenne. Les propositions du Comité visent à développer des politiques économiques européennes plus résilientes et plus durables dans le contexte d’un cadre de gouvernance amélioré pour l’Union économique et monétaire.
Change management, better communication on scientific evidence and, above all, civil engagement are key factors for the development and implementation of new indicators to measure people's well-being and societies' progress. This was the main message of a public debate that was held on 4 June by the European Economic and Social Committee and its Section for Economic and Monetary Union and Economic and Social Cohesion.
On 6 May 2019 the Centre for European Policy Studies (CEPS) organised in its headquarters at Place du Congrès in Brussels a day of debates which focused on analysing the reform process of the Economic and Monetary Union, the various positions of the Member States' governments and some social actors, as well as the possible way forward from a situation that was qualified as a "blockage of the main reforms". In the six round tables that structured the debate, a total of 26 people participated, including keynote speakers, speakers and moderators. All of them were academics or officials of the European institutions.
Bâtir une économie européenne à la fois plus durable et résiliente et achever l’Union économique et monétaire (UEM) devraient constituer des priorités pour la prochaine Commission et pour le prochain Parlement européen; telles sont les conclusions d’une audition publique qu’a tenue le Comité économique et social européen (CESE) le 12 avril 2019.
Les États membres de l’Union européenne doivent renforcer la participation des parties prenantes dans le cadre de leurs efforts de réforme des économies nationales. Parallèlement à une nouvelle stratégie à long terme de l’UE en faveur du développement durable, une participation accrue des parties prenantes pourrait contribuer à la création d’un Semestre européen plus efficace et plus inclusif, bénéficiant du soutien de la société et prêt à relever les défis qui se posent à l’UE.
Le CESE tire des conclusions mitigées de l’examen annuel de la croissance (EAC) réalisé par la Commission européenne