On 6 May 2019 the Centre for European Policy Studies (CEPS) organised in its headquarters at Place du Congrès in Brussels a day of debates which focused on analysing the reform process of the Economic and Monetary Union, the various positions of the Member States' governments and some social actors, as well as the possible way forward from a situation that was qualified as a "blockage of the main reforms". In the six round tables that structured the debate, a total of 26 people participated, including keynote speakers, speakers and moderators. All of them were academics or officials of the European institutions.
Crise financière
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The government, representatives of organised civil society and other interest groups call for fresh impetus for the European Union
- La résilience économique et la résilience du marché du travail doivent aller de pair.
- L’engagement en faveur de l’approfondissement de l’UEM au moyen d’une stabilisation et d’une convergence vers le haut est essentiel.
- Il peut s’avérer problématique de presser les États membres d’adopter des orientations budgétaires restrictives.
Les titres adossés à des obligations souveraines (sovereign bond-backed securities ou SBBS) peuvent contribuer à une plus grande diversification et à une réduction des risques pour les portefeuilles en obligations souveraines détenus par les banques et par les autres opérateurs financiers. Cela pourrait avoir un effet positif sur la stabilité et la résilience du système financier et améliorer l’intégration du marché financier.
Le CESE se félicite des propositions présentées par la Commission européenne au sujet des prêts non performants, mais recommande une analyse d’impact spécifique afin de garantir l’adéquation et l’efficacité des mesures qu’elle propose
De nouvelles mesures doivent être prises au niveau national et européen pour contrecarrer les effets des crises futures
Les États membres de l’UE doivent d’urgence travailler à bâtir une UEM stable, prospère et plus résiliente: voici l’une des principales conclusions d’un débat public sur l’achèvement de l’Union économique et monétaire (UEM) que le Comité économique et social européen (CESE) a organisé le 29 janvier 2018.
Le CESE plaide pour une action de relance budgétaire ciblant l’investissement public, qui mettrait également l’accent sur des réformes structurelles destinées à accroître la productivité et à soutenir la création d’emplois de qualité
Le Comité économique et social européen (CESE) désapprouve la proposition de la Commission d’adopter une orientation budgétaire globalement neutre en 2018, et plaide plutôt pour une orientation budgétaire positive modérée représentant environ 0,5 % du PIB.
Des mesures préventives et des approches de substitution ont été proposées à cette fin lors d’une audition du Comité économique et social européen (CESE)
Le 7 février, à l'occasion du 25e anniversaire du traité de Maastricht, le Comité économique et social européen se tourne vers les dirigeants politiques, les organisations de la société civile européenne que nous représentons et tous les citoyens européens, avec un appel: l'appel à la solidarité sociale et économique, qui est indispensable à travers l'Europe.
La crise démontre qu’il ne suffit pas d’établir une série de règles «comptables», telles que le pacte de stabilité, car les problèmes sous-jacents ne sont pas d’ordre technique, mais économique et politique. Certains progrès ont été accomplis au cours des dernières années, grâce à la mise en place de nouvelles règles et de nouveaux mécanismes, et notamment de l’union bancaire.