La voix des travailleurs au sein du prochain Parlement européen

Les prochaines élections européennes seront décisives pour l’avenir de l’Europe et pour l’avenir des travailleurs européens. Les défis d’aujourd’hui — notamment le changement climatique, l’avenir du travail, les inégalités et la pauvreté, la montée du populisme, les menaces pour la sécurité extérieure et intérieure, la désinformation et le départ imminent d’un État membre — ne peuvent être résolus efficacement qu’en collaborant entre syndicats et avec ceux et celles qui soutiennent notre vision d’une Europe plus juste, fondée sur la démocratie et la justice sociale. Une Europe qui œuvre pour les travailleurs et tous ses citoyens.

Jusqu’à présent, le Parlement européen a été l’une des principales institutions européennes permettant aux syndicats de faire entendre leur voix. Toutefois, les prévisions des résultats des prochaines élections sont préoccupantes. Une chose est claire: le paysage du prochain Parlement européen changera et les deux partis traditionnels ne seront peut-être plus majoritaires. Qu’est-ce que cela signifie pour les syndicats et comment allons-nous gérer ce nouveau paysage? Quelles nouvelles alliances devront être formées? Où faut-il tracer les lignes rouges entre la défense de nos valeurs et l’obtention de majorités parlementaires?

 

Parmi les personnes qui se rejoindront  à Oliver Röpke, président du groupe des travailleurs, pour cet important débat figurent

  • Luca Visentini, secrétaire général de la CES,
  • Nicolas Schmit, ministre sortant du Travail et de l’Emploi au Luxembourg,
  • Evelyn Regner, députée européenne S&D,
  • Gabriele Bischoff, candidate aux élections européennes.